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La Francolatina
28 novembre 2009
Amérique Latine : une fin d’année...électorale
28 novembre 2009
Amérique Latine : une fin d’année...électorale
Alain Musset, Renée Fregosi, Jean-René Garcia, Georges Couffignal et Antonio Rodriguez. Photo : (c) Margit Vermès - IHEAL-CREDAL
L’Uruguay, le Honduras la Bolivie et le Chili éliront d’ici la fin de l’année un nouveau président de la République. À l’invitation de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine (IHEAL) et l’Institut des Amériques (IdA), 4 experts ont fait le point sur les circonstances et les enjeux de ces élections.
enée Fregosi, maître de conférence à l’IHEAL ; Georges Couffignal, professeur de Science politique, directeur de l’IHEAL, secrétaire général de l’IdA ; Alain Musset, directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences sociales et membre du Conseil Scientifique de l’IdA et Jean-René Garcia, chercheur en Droit au CREDAL, chargé de mission auprès du Président de l’IdA, ont donc exposé leurs points de vue respectifs sur les processus électoraux uruguayen, chilien, hondurien et bolivien.
Tout en considérant pratiquement acquise l’élection de l’ancien Tupamaro José "Pepe" Mujica, Renée Fregosi, a expliqué pourquoi compte tenu fait que le président sortant, Tabaré Vásquez, ne peut pas être réélu, le choix de Mujica était "le plus raisonnable".
Évoquant la situation chilienne, Georges Couffignal, a souligné le paradoxe que représente le faible de soutien -26%- que semble recueillir le candidat de la majorité sortante, Eduardo Frei, face au soutien impressionnant -82% !- dont bénéficie sa "camarade" de coalition, Michelle Bachelet. Il a par ailleurs considéré que l’éventuel élection de Sebastian Piñera ne remettrait pas forcément en cause les "fondamentaux" du Chili d’aujourd’hui.
Alain Musset a quant lui évoqué les élections honduriennes aussi bien du point de vue des évènements récents que du point de vue du rôle des États Unis. Jean-René Garcia a, quant à lui, analysé la situation -plutôt favorable- dont semble jouir Evo Morales à la veille des élections du 6 décembre prochain.
Ils ont tout les deux livré leurs analyses à La Francolatina dans l’interview que vous pouvez écouter et télécharger à cette adresse:
enée Fregosi, maître de conférence à l’IHEAL ; Georges Couffignal, professeur de Science politique, directeur de l’IHEAL, secrétaire général de l’IdA ; Alain Musset, directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences sociales et membre du Conseil Scientifique de l’IdA et Jean-René Garcia, chercheur en Droit au CREDAL, chargé de mission auprès du Président de l’IdA, ont donc exposé leurs points de vue respectifs sur les processus électoraux uruguayen, chilien, hondurien et bolivien.
Tout en considérant pratiquement acquise l’élection de l’ancien Tupamaro José "Pepe" Mujica, Renée Fregosi, a expliqué pourquoi compte tenu fait que le président sortant, Tabaré Vásquez, ne peut pas être réélu, le choix de Mujica était "le plus raisonnable".
Évoquant la situation chilienne, Georges Couffignal, a souligné le paradoxe que représente le faible de soutien -26%- que semble recueillir le candidat de la majorité sortante, Eduardo Frei, face au soutien impressionnant -82% !- dont bénéficie sa "camarade" de coalition, Michelle Bachelet. Il a par ailleurs considéré que l’éventuel élection de Sebastian Piñera ne remettrait pas forcément en cause les "fondamentaux" du Chili d’aujourd’hui.
Alain Musset a quant lui évoqué les élections honduriennes aussi bien du point de vue des évènements récents que du point de vue du rôle des États Unis. Jean-René Garcia a, quant à lui, analysé la situation -plutôt favorable- dont semble jouir Evo Morales à la veille des élections du 6 décembre prochain.
Ils ont tout les deux livré leurs analyses à La Francolatina dans l’interview que vous pouvez écouter et télécharger à cette adresse:
http://www.lafrancolatina.com/spip.php?article1539
