Sociedad equitativa, ciudad justa y utopía
en Ciudad, Sociedad, Justicia : un enfoque espacial y cultural
bajo la direccion de Alain Musset
Mar del Plata, EUDEM, 2010, pp. 463-489.
http://www.scribd.com/doc/40066733/2010-Ciudad-Justicia-Utopia
en Ciudad, Sociedad, Justicia : un enfoque espacial y cultural
bajo la direccion de Alain Musset
Mar del Plata, EUDEM, 2010, pp. 463-489.
http://www.scribd.com/doc/40066733/2010-Ciudad-Justicia-Utopia
En 2010, puesto que las certezas económicas y morales del neoliberalismo han sido quebrantadas por el hundimiento de un sistema bursátil voluntariamente desconectado del mundo real con el propósito de acumular los beneficios sin preocuparse de los riesgos, no está prohibido pensar, como lo dijo Saint-Just en 1794 para la Felicidad, que la justicia es una nueva idea en el mundo globalizado. Al grito de “¡Keynes, despierta, se volvieron locos!”, se contempla la necesidad de un regreso del Estado y de la potencia pública en sociedades hasta ahora dominadas por los mercados, con el fin de mitigar los efectos de la crisis y reducir la amplitud de las desigualdades sociales y económicas.
En 2010, puisque les certitudes économiques et morales du néolibéralisme ont été ébranlées par l'effondrement d'un système boursier volontairement déconnecté du monde réel dans le but d'accumuler les bénéfices sans se préoccuper des risques, il n'est pas interdit de penser, comme l'a dit Saint-Just en 1794 pour le Bonheur, que la Justice est une idée neuve dans le monde globalisé. Au cri de « Keynes, réveille-toi, ils se sont devenus fous ! », on en revient à l'idée d'un retour de l'État et de la puissance publique dans des sociétés jusqu'à présent dominées par les marchés, afin de limiter les effets de la crise et de réduire l'ampleur des inégalités sociales et économiques.
In 2010, since the economic and moral certainties of neo-liberalism were shaken by the collapse of a stock exchange system voluntarily disconnected from the real-world with an aim of accumulating the benefit without being concerned with risks, it is not prohibited to think, like said it Saint-Just during the french Revolution for Happiness, that Justice is a new idea in the globalized world. With the cry of “Keynes, awakes, they became themselves insane!”, we are thniking about the idea of a return of the State and public power in societies until now dominated by the markets, in order to limit the effects of the crisis and to reduce the extent of the social and economic inequalities.
En 2010, puisque les certitudes économiques et morales du néolibéralisme ont été ébranlées par l'effondrement d'un système boursier volontairement déconnecté du monde réel dans le but d'accumuler les bénéfices sans se préoccuper des risques, il n'est pas interdit de penser, comme l'a dit Saint-Just en 1794 pour le Bonheur, que la Justice est une idée neuve dans le monde globalisé. Au cri de « Keynes, réveille-toi, ils se sont devenus fous ! », on en revient à l'idée d'un retour de l'État et de la puissance publique dans des sociétés jusqu'à présent dominées par les marchés, afin de limiter les effets de la crise et de réduire l'ampleur des inégalités sociales et économiques.
In 2010, since the economic and moral certainties of neo-liberalism were shaken by the collapse of a stock exchange system voluntarily disconnected from the real-world with an aim of accumulating the benefit without being concerned with risks, it is not prohibited to think, like said it Saint-Just during the french Revolution for Happiness, that Justice is a new idea in the globalized world. With the cry of “Keynes, awakes, they became themselves insane!”, we are thniking about the idea of a return of the State and public power in societies until now dominated by the markets, in order to limit the effects of the crisis and to reduce the extent of the social and economic inequalities.